L’Afrique et A2SE Conseil, c’est une relation qui perdure depuis de nombreuses années. D’abord, grâce aux liens que notre collaborateur Maxime David entretient avec ce continent, de par son parcours universitaire et professionnel. Ensuite, parce que ce n’est pas la première fois qu’A2SE Conseil forme des techniciens en Afrique.
C’est toujours un véritable plaisir d’y retourner pour partager et transmettre notre expertise sur le sujet de l’ATEX. Cette fois-ci, c’est un autre collaborateur, Loïc Ramondou, qui s’est rendu sur place. Sa mission ? Former pas moins de 48 personnes sur des formations ATEX, du niveau 0 jusqu’au 2 EM, sur un site industriel appartenant à une filiale française au Burkina Faso.
ATEX 1M : 21 mécaniciens de maintenance (dont des chefs d’atelier)
Détecteur de gaz utilisé lors de nos formations – Photo Loïc Ramondou – A2SE Conseil © Tous droits réservé
Lors de nos formations ATEX, les techniciens ont exprimé une demande constante d’informations afin d’améliorer leurs conditions de travail et leur santé, pour limiter les risques auxquels ils sont exposés quotidiennement.
C’est dans ce type de mission que notre cabinet de conseil en management des risques explosifs et de sécurité trouve tout son sens. Plus que jamais, nous avons un rôle clé à jouer auprès des entreprises.
Nous avons pu transmettre les messages essentiels, sensibiliser les équipes aux risques liés aux dangers ATEX et leur permettre d’assimiler ces connaissances. L’objectif : accroître la sécurité pour tous sur des installations présentant des risques d’atmosphères explosibles ou explosives.
Pendant cette formation, nous avons observé une véritable prise de conscience quant à l’importance de réaliser un zonage adéquat, ce qui facilite la maintenance et le choix du matériel. Les équipes ont également reconnu la nécessité de rédiger un DRPCE (ou un document équivalent) pour assurer la bonne adéquation du matériel, simplifier les achats et répertorier les différentes anomalies.
Loïc a aussi profité de son séjour pour effectuer des visites culturelles, notamment celle d’une magnifique mosquée traditionnelle. Il est possible de visiter ce type de lieu en dehors des heures de prière, bien entendu. Ces visites sont payantes et contribuent au financement des travaux d’entretien et de rénovation de ces lieux de culte ancestraux, faits de terre, et donc aussi fragiles que précieux.
Photos : Détecteur de gaz utilisé lors de nos formations – Photo Loïc Ramondou – A2SE Conseil © Tous droits réservé / Mosquée au Burkina Faso – Photos Loïc Ramondou – A2SE Conseil © Tous droits réservés